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il y a 4 ans
Synopsis de cette histoire érotique : Mes petits 45 kg et moi nous sommes retrouvés en binôme avec Nadine (1m90/130kg) en exercice de lutte. La belle ne connaissait pas sa f o r c e et j’en fis les frais...
Ce début d’après midi de juin était écrasant de chaleur et l’atmosphère du gymnase étouffante. Tous en short et tee-shirt, nous attendions léthargiques les instructions de notre prof de gym qui ne semblait pas plus motivé à travailler que nous d’ailleurs. Sa voix était si monotone et soporifique que je luttais pour ne pas sombrer dans le sommeil.
- Les gars, la prof de vos camarades filles est souffrante et nous allons faire classe commune.
Cette nouvelle nous réveilla brutalement. L’idée de nous retrouver avec toutes ces beautés de 18 ans en petit short et brassière de sport était vivifiante. Les discussions se turent et nous fûmes tout de suite plus attentifs.
- Je ne change rien au programme, on continue notre entraînement à la lutte. Rendez-vous dans la salle où ces demoiselles ont déjà dû avoir la gentillesse d’installer les tapis.
Dynamisés par cette nouvelle, nous trottames en direction des jeunes beautés, qui avaient tout préparé comme prévu. La vision qui nous attendait était torride. Même si nous les connaissions depuis longtemps, nous n’avions pas l’occasion de les voir si peu habillées. La puberté avait fait des merveilles: Leur fessier était rebondi et leur brassière bien rempli.
- Choisissez votre binôme et je vous explique ensuite ce que vous devrez faire.
Même si nos hormones nous titillaient, la pudeur et la timidité prirent le dessus. Aucun binôme n’était mixte. Mais comme le nombre de filles et de garçons étaient impairs, je me retrouvai avec la grande et plantureuse Nadine. Nous nous connaissions depuis longtemps, et même si on ne se côtoyait pas beaucoup, nous nous apprécions. Par contre, nadine était une armoire à glace. Leader de l’équipe de hand-ball, elle mesurait 1m85 pour 110kg. Elle était plus grande et plus carré que tous mes camarades. Elle semblait avoir quelques kilos en trop mais ils étaient très harmonieusement répartis sur sa silhouette hyper tonique. Sa poitrine était superbe. Ses seins étaient attachés haut sur son large buste et ils étaient massifs. Ils mettaient sa brassière à rude épreuve et ils bougeaient de manière hypnotique à chacun de ses mouvements. Elles étaient déjà en sueur et ses sombres tétons se dessinaient en filigrane. Cette immense brune avait un visage d’ange et des yeux bleus clairs qui vous faisaient fondre. Sa tenue mettait en avant ses épaules hyper musclées. Ses énormes biceps et triceps roulaient sous sa peau bronzée et on devinait des abdominaux massifs sous sa taille puissante. Ses cuisses étaient d’un autre monde. Elles étaient si larges qu’elle avait dû déchirer le tissus de son short sur les côtés pour que ses jambes passent. Elles étaient au moins deux fois plus grosses que celles de notre prof qui était pourtant un bel athlète. Bref, Nadine était “massive”, ce qui n’était pas mon cas. Avec mes 45kg pour 1m65, j’étais un gringalet et j’avais perdu tout espoir de grandir encore. J’étais plus un rat de bibliothèque qu’un addict des salles de sport et par conséquent, je n’avais que peu de muscles. Mon visage quasi imberbe était fin et je ne faisais pas mon âge, alors que Nadine était maintenant une belle femme épanouie.
Nadine était venue à coté de moi et me toisait de son doux regard.
-
Je crois qu’il ne reste plus que nous. Tu veux bien que l’on lutte ensemble ?
-
Euuuu, je crois que l’on n’a pas le choix Nadine ?
J’entendais des rires écrasés et des chuchotements moqueurs face à notre couple pas très bien assorti. Je nous regardai dans l’immense miroir et je paraissais si petit et faible face à la géante. Mes yeux n’arrivaient même pas à hauteur de ses épaules et elle était deux fois plus large que moi. Ses bras étaient plus gros que mes cuisses et ses cuisses devaient être plus lourdes que tout mon corp ! J’avais même l’impression qu’elle avait grandi encore depuis que j’avais lu ses mensurations dans le journal du lycée. 1m90 pour 130kg me paraissait plus proche de la vérité, ce qui ne m’arrangeait pas vraiment.
Nous regardant Nadine et moi d’un air rieur et dubitatif, le prof nous donna les instructions de l’exercice.
- Nous allons faire l’exercice de la tortue. Un de vous sera sur le tapis à quatre pattes de manière à être le plus stable possible. Le but de l'adversaire sera de tenter de renverser celui qui est au sol. C’est parti !
Nadine prit la pose de la tortue devant moi. Son dos était si large et si puissant que j’avais l’impression de faire face à un dolmen. Son fessier imposant mettait son short au bord de la rupture. Elle avait la compétition dans le s a n g et ne prenait pas les choses à la légère. Tous ses muscles étaient gonflés par l’effort, et elle me faisait même un peu peur...
- Vas y ! tu peux y aller !
Je ne savais par quel bout attaquer cette immense forteresse de muscles et de courbes généreuses. Posant mes deux petites mains sur son épaule, je tentai de pousser la géante qui sentit à peine mon effort. Je m’attendais à un peu plus de mollesse à son contact mais j’avais l’impression de toucher du béton ! Je tentais ma chance sur ses fesses cabrées dont la rondeur m’excitait terriblement. Prenant mon élan, je tentais de percuter avec mes petits 45kg cette immense masse, qui ne bougea pas. Par contre, mon épaule avait encaissé le choc et je souffrais le martyr. Vexé d’avoir aussi peu d’effet sur ce corps immense, je la saisis par la taille pour tenter de la renverser. J’avais l’impression d’éteindre un tronc de séquoia tant ses muscles étaient durs, denses et épais. J’utilisais toute la f o r c e que j’avais dans mes cuisses d’araignée pour la retourner mais en vain. Le prof s’approcha de moi et mit sa main sur mon épaule.
- Je crois que tu peux arrêter. Les lois de la physique sont ce qu’elles sont. Je m’occupe de son entraînement personnel et je connais bien de quoi elle est capable. Elle doit faire trois fois ton poids et peut soulever deux gars comme toi au dessus de sa tête. Je ne vois pas comment tu pourrais la retourner toi qui n’arrive même pas à taper assez fort pour faire passer le ballon de volley au dessus du filet.
Le constat était là. J’étais bien trop petit et faible pour faire quoi que ce soit à cette jeune amazone. Le prof s’adressa à la belle.
- Tu peux te relever ma grande. Vous allez échanger vos places.
Nadine se releva en dépliant son corps immense et rayonnait de sa victoire. Je me mis à quatre pattes sur le sol. Mes yeux se trouvaient face à ses énormes mollets et ses pieds ressemblaient à des péniches. Je ne me sentais vraiment pas rassurer. J’avais constaté que son corps était tout en muscle, et mon prof m’avait fait comprendre qu’elle n’aurait aucun problème à me porter au dessus de sa tête. L’amazone se tenait les genoux pliés, les jambes légèrement écartées, et les mains prêtes à me saisir. Penchée ainsi, ses seins lourds dessinaient un profond décolleté. Je la regardai une dernière fois pour lui donner le signal.
- Je suis prêt.
C’est là que mes ennuis commencèrent. Je n’avais pas fini ma phrase que Nadine était déjà penchée sur moi et je sentis son énorme main sous mon ventre. Comme si je ne pesais rien, elle me souleva pour me projeter v i o l emment contre son torse puissant. Heureusement que sa poitrine opulente et ferme am o r t it le choc car mes os auraient pu être brisés. Surprise elle même de la facilité avec laquelle elle me manipulait, elle se rendit compte que j’offrais beaucoup moins de résistance qu’elle ne s’y attendait. Je me retrouvai la tête en bas, écrasé contre elle par son bras musclé. Ayant peur que mes viscères n’explosent sous la pression, j’utilisais le peu d’air qui n’avait pas été expulsé de mes poumons pour avertir la géante.
- Nadine, tu vas m’écraser !
Nadine relâcha son étreinte et mon corps se mit à glisser vers le sol. Pour m’éviter de me fracturer le crâne, Nadine attrapa ce qu’elle put avec sa main afin de me retenir. Je sentis son immense paluche agripper mon short, et mon slip par la même occasion. ça n’empecha pas mon petit corps de continuer à glisser jusqu’à ce que mes genoux soient au niveau du bras qui m’écrasait. Le souci est que mon short et mon slip n’avaient pas suivi, et je me retrouvai le pubis à l’air devant tout le monde, exposant mon sexe minuscule, pendant que l’amazone, rouge de gêne, me tenait pendu la tête en bas, comme un petit poisson qu’elle aurait pêché. Nadine était tétanisée, pendant que je gigotais comme une anguille pour m’extirper de cette situation humiliante. Tout le monde s’était arrêté pour regarder la scène. Fixant le prof de gym, Nadine attendait un ordre libérateur de sa part. Comme si rien ne pouvait l’étonner, le prof s’adressa à elle de son ton monocorde.
- Nadine, tu peux le relacher et le rhabiller. Tu as gagné.
La géante fléchit ses énormes jambes pour me déposer doucement. Quand mes fesses eurent atteint le sol, elle relâcha mes jambes. Je me retrouvais quasi nu par terre, exposant mes petites fesses et mon entrejambe à mes camarades qui chuchotaient.
-
Tu as vu comment elle l’a soulevé !
-
Il faut dire qu’il est vraiment maigre. Il ne pouvait pas faire le poids face à elle.
-
Il n’a même pas de poils !
-
Je n’avais vu de fesses aussi squelettiques !
-
Il a un pénis ou un clito ?
Entravé par mon slip et mon short sur mes genoux, je rampais aux pieds de l’amazone comme un ver sur le sol et n’arrivais pas à me relever pour me rhabiller. Nadine, voulant bien faire, se baissa et me saisit de ses mains larges et puissante sous les aisselles. Alors qu’elle voulait simplement me remettre sur les pieds, elle me souleva si haut que je ne touchais à nouveau plus le sol. A nouveau tétanisée par son mauvais dosage de sa f o r c e , elle ne savait quoi faire et me maintenait en l’air à bout de bras comme si je n’étais qu’une poupée de chiffon. Mon petit séant était à nouveau exposé à la vue de tous. Mes fines jambes battaient dans le vide sans que la géante en soit perturbée. Avec un voix frêle et mêlée de s a n g lot, je l’implorai.
- Pose moi s’il te plait !
La belle obéit et me posa par terre délicatement, comme une poupée de porcelaine qu’elle ne voulait pas ébrécher. Avant même que je ne m’accroupisse pour remonter mes vêtements, Nadine avait déjà saisi dans ses battoirs les côtés de mon slip et de mon short pour me rhabiller, comme le lui avait demandé le prof. Plus fébrile et nerveuse que jamais, elle remonta si rapidement mes vêtements qu’elle me décolla à nouveau du sol. Je me retrouvai soutenu uniquement par le tissus qui me rentrait dans les fesses et écrasait mes petites bourses. Je pleurais de douleur alors que la géante se retrouvait à nouveau tétanisée, soutenant toujours mon faible poids du bout de ses bras puissants, par le truchement de mon slip et de mon short. Même si je n’étais pas très lourd, mes vêtements bas de gamme cédèrent. Nadine se retrouva avec deux bouts de tissus dans les mains, pendant que je chutais lourdement à ses pieds sur mes petites fesses nues. Je levais les yeux pour regarder le visage de l’amazone plein de désarroi de m’avoir fait subir involontairement un traitement aussi humiliant. Je me relevai rapidement, saisis les côtés de mon tee-shirt pour le tendre et tenter de masquer ma nudité. Je fuis la salle sous les rires moqueurs des garçons et des filles, trottinant quasi nu.
J’allai dans le vestiaire où je pris mes affaires de rechange aussi vite que possible, et me réfugiait dans un autre vestiaire désaffecté au fond du couloir. Une fois assis en sécurité, je pris ma tête dans mes mains pour m'effondrer en larme. Mon téléphone se mit à vibrer et je recevais déjà la vidéo de la scène que mes pseudo amis se faisaient un plaisir de propager. Nadine m’avait vraiment manipuler comme un jouet, mais il était clair sur son visage que ce n’était pas sa volonté. Elle ne connaissait et ne maitrisait pas sa f o r c e , c’est tout. J’étais si léger pour elle. Je me vis fuir la salle en trottinant, tortillant mes petites fesses nues que le tee-shirt ne cachait quasiment pas. Tout était allé si vite. Qu’allai je faire maintenant ?
Les images de la vidéo tournaient dans ma tête, parfois pendu en l’air par la seule f o r c e de ses mains, parfois rampant quasi nu à ses pieds, parfois plaqué la tête en bas contre ses seins titanesques, parfois les fesses à l’air dans le couloir. J’attendais dans l’obscurité du vestiaire que tout le monde parte pour sortir de ma cachette quand la porte s’ouvrit. Même si j’étais ébloui par la lumière, je devinais sans difficulté à qui appartenait la large silhouette qui se dessinait. C’était Nadine. Perchée sur des talons qui n’étaient pourtant pas si haut, sa tête touchait presque l’encadrement de la porte. Elle portait une robe blanche trop petite pour elle. Il faut dire qu’avec sa croissance rapide, ses vêtements n’avaient pas le temps de suivre. Elle sortait de la douche et sentait bon le jasmin. Ses cheveux pas tout à fait secs couvraient ses épaules de déménageurs. Elle ne s’était pas embarrassée de sous-vêtement et la manière dont son énorme poitrine nue et humide tendait le tissus ne laissait pas de place à l’imagination quant au volume colossal et à la fermeté de ses seins. Elle alluma la lumière et me vit assis, recroquevillé, les yeux rouges, dans un coin du vestiaire.
-
Je te cherchais partout, je voulais vraiment m’excuser de t’avoir fait subir une telle humiliation. Je m’attendais à ce que tu sois plus lourd et que tu me donnes un peu plus de fil à retordre, mais tu es léger comme une plume ! Combien pèses tu ?
-
Je fais 45kg.
-
Seulement ! C’est vrai que je peux soulever quatre gringalets comme toi au développé-couché, et plus de deux au dessus de ma tête. Tu es si léger !
La belle s’était rapprochée de moi et je levai la tête pour la regarder de mes yeux rougis par les larmes. Son doux visage apparaissait en haut de la profonde vallée formée par ses seins et je distinguais sa toison brune à hauteur de mes yeux sous sa robe transparente. Je me sentais encore plus faible face au statistique qu’elle venait d’énumérer, moi qui avait du mal à porter un pack de lait. Cherchant à se justifier, elle poursuivit son monologue.
- J’ai l’habitude de chahuter avec ma petite soeur et je dois quand même mettre un peu de f o r c e pour la plaquer au sol. Tu ne m’as pas donné le dixième de sa résistance ! Il faut dire qu’elle doit bien avoir 20 kg de muscles de plus que toi. ça fait déjà quelques temps qu’elle a dépassé les 60kg. Tu n’aurais probablement aucune chance contre elle et elle te soulèverait aussi comme une plume.
Je ne sais pas ce que cherchais Nadine, mais je blanchissais au fur et à mesure de ses paroles. Savoir que j’avais moins de f o r c e qu’une gamine et que je perdrai probablement à lutter contre elle ne m’aidait pas vraiment. Nadine était aussi maladroite dans sa tentative de me rassurer que dans ses capacités à contrôler sa f o r c e . L’amazone s’en rendit compte.
- Pardon ! Je suis vraiment une catastrophe, un vrai éléphant dans un magasin de porcelaine. Tu sais, ce n’est pas toujours facile pour moi non plus. Avec mes 1m92 et 135kg, je fais peur à tout le monde et surtout aux hommes qui me traitent de grosse moche. Si je peux faire quoi que ce soit pour me faire pardonner, dis le moi !
Ses yeux s’étaient remplis de larmes et sa voix chevrotait. Je ne l’avais jamais perçue comme une fille complexée. J’étais touché par cet aveux.
- Mais tu n’es pas moche, je te trouve très belle ! Tu as un visage d’ange et des yeux où l’on aime se noyer. Je ne parle même pas de tes formes sur lesquelles tous les garçons fantasment.
Nadine me regardait avec de grands yeux tout ronds, surprise que ce corps d’amazone puisse susciter du désir. Voyant que mes yeux avaient du mal à ne pas fixer sa poitrine, la belle esquissa un sourire en coin.
- C’est vrai ? Et si je fais ça, retrouveras tu le sourire ?
Ses mains passèrent dans son dos pour ouvrir la fermeture qui courait le long de sa colonne vertébrale. Elle saisit ensuite le devant de sa robe humide qui lui collait à la peau et la baissa. Tout son buste à la fois si féminin et si puissant était nu. Ses énormes seins, libérés de leur carcan, au contraire de s’affaisser, pointaient même fièrement vers le ciel ! Ils étaient vraiment énormes.
- Tu n’a pas envie de les toucher ? Approche toi mon mignon.
Fasciné par ce spectacle si sensuel, je me levais doucement du banc sans quitter des yeux les deux masses libres qui gigotaient devant moi. Debout, les tétons colossaux se trouvaient juste à hauteur de mes yeux. Nadine saisit mon avant bras qui disparut dans son immense battoire et guida ma main jusqu’à sa douce et ferme mamelle. Son contact me fit frissonner. Elle était si lourde ! Je m’autorisai à porter mon autre main sous le volumineux joyaux pour le palper. Tentant de soulever ce sein monumental, je m'aperçus que ce n’était pas dans mes moyens. Il était bien trop massif.
- Viens le goûter.
Passant sa large main derrière ma tête, la géante m’ intima d’une légère pression l’ordre de prendre en bouche le bout de son obus. Je dûs me mettre sur la pointe des pieds pour l’atteindre. Je caressais de ma langue fine et douce ce bijou d’érotisme, il était à la fois sucré et salé, moelleux et ferme. Excitée par mes caresses, elle augmenta la pression de son énorme main sur ma nuque fine et délicate et plaqua mon visage contre son colossal melon pendant que son téton n’en finissait pas de durcir dans ma bouche. La belle relâcha ma nuque, recula un peu pour passer ses mains sous mes aisselles et me soulever sans esquisser le moindre signe d’effort, jusqu’à ce que mes pieds soient à hauteur du banc sur lequel elle me déposa avec une douceur que seule une f o r c e colossale permet.
- Il n’y a pas de raison que je sois la seule à être nue !
La géante saisit les côtés de mon tee-shirt pour le remonter et l’enlever. J’étais torse nu devant l’amazone qui caressait de ses grandes mains mon buste frêle et mes épaules fragiles. Ses mains descendirent pour agripper l’élastique de mon survêtement et de mon slip, qu’elle descendit jusqu’à mes chevilles. Je m’appuyai alors sur ses épaules en béton pour garder l’équilibre en levant mes pieds, et qu’elle puisse me déshabiller totalement. J’étais totalement nu face à Nadine, plus mince,léger et fragile que jamais. Ma pudeur commanda à mes mains de cacher mon sexe en érection, mais celles de Nadine vinrent saisir mes avant bras pour m'empêcher de cacher mon pubis.
- ça fait longtemps que je rêvais de ça. Je craque pour toi depuis toujours et ça m’a rendu très nerveuse pendant l’exercice. Tu as vraiment un magnifique petit corps que je rêve de peloter depuis si longtemps !
En même temps qu’elle parlait, Nadine avait plaqué sur mon petit cul son énorme main droite si large qu’elle pouvait tenir mes deux petites fesses à la fois. Elle les caressait parfois doucement pour sentir la douceur de ma peau, parfois plus fermement pour sentir leur moelleux. Elle y mettait de plus en plus de f o r c e jusqu’à ce qu’elle finisse par me soulever de cette seule main et me plaquer contre son sein, mon poids reposant entièrement dans sa battoire. Je n’étais pas si mal assis dans cette immense palme. Mes jambes d’araignée pendaient de part et d’autre de sa mamelle, et mon pénis plus dur que jamais frottait contre son téton dressé. Je ne résistai pas longtemps à l’excitation que provoquait le contact de son sein titanesque contre ma verge dressée. Je jouis sur la poitrine de la belle, inondant sa peau d’une petit flaque de sperme. Je n’avais jamais ressenti un tel plaisir auparavant. Jouir sans avoir mon sexe dans la main était un sensation totalement nouvelle. J’ haletais de plaisir, suspendu dans la main de la géante, qui, voyant que mon corps ne se tenait plus, passa sa main libre dans mon dos pour plaquer tout mon petit corps contre son buste majestueux, et m’empêcher de tomber au sol. Elle me berça tendrement.
- Je ne pensais pas te faire cet effet là aussi vite ! C’est très flatteur ceci-dit. J’avais prévu un autre programme cependant.
Augmentant la pression sur mon dos suffisamment pour qu’elle me soutienne contre elle de cette seule main, elle libéra le bras sur lequel je reposais pour le passer sous mes genoux et me soulever à la manière d’une “jeune mariée”. Fermement soutenu sous mon dos et sous mes jambes, l’amazone me tenait contre sa poitrine haute et ferme. Dans un mouvement puissant, elle plia ses bras de manière à ce que mon sexe se trouve au niveau de ses lèvres. Elle avala mon pénis et mes testicules dans sa grande bouche. Ma bite ne demandait rien de mieux pour reprendre de la vigueur. Nadine caressait mes parties intimes de sa langue puissante, avalant le sperme dont elles étaient recouvertes, et les stimulant pour en avoir plus. Impuissant et balloté sur les épaules puissantes de la belle, je sentis mon nouvelle orgasme arrivé rapidement et je jouis dans la bouche de Nadine. La belle fit ses coups de langues progressivement plus doux, et nettoya ma bite de ses lèvres pulpeuses, avant de rendre sa liberté à ma queue. J’étais aussi mou qu’une poupée de chiffon et j’avais du mal à reprendre mon souffle. Tout en me tenant dans ses bras puissants, Nadine me câlinait et attendait avidement que je reprenne mes esprits. Quand je fus calmer, ma belle me tendit sa bouche. Mettant ma petite main sur son cou de taureau, je posai mes lèvres fines et bien dessinées sur les siennes qui étaient pulpeuses à souhait. Nos langues se trouvèrent et entrèrent d’abord timidement en contact, puis s'entremêlerent maladroitement. Je n’avais jamais embrassé personne et elle non plus. A bout de souffle, je décollai ma bouche de celle de la belle dont les yeux azurs dévoraient mon visage imberbe. Elle s’assit sur le banc tout en soutenant mon poids et continua à bercer mon petit corps chétif, nu comme un ver.
- Tu as retrouvé le sourire on dirait. Est ce que ça veut dire que l’on est...ensemble ?
Cette question me fit sortir de ma douce torpeur.
- Je n’avais imaginé qu’une belle fille comme toi accepte de sortir avec un gringalet comme moi. Je n’avais même jamais rêvé qu’une telle beauté puisse vouloir de moi comme copain. Oui, on sort ensemble ! C’est un rêve éveillé !
Rayonnante de bonheur, Nadine se leva et me jeta en l’air comme un trophée qu’elle venait de remporter. Mon corps chétif flotta dans le vide quelques secondes pour retomber dans les bras musclés de la belle qui plaqua sa bouche contre la mienne et me donna un baiser fougueux.
Mon sperme s’était étalé sur la vaste poitrine de Nadine et nous étions tous les deux en nage dans la moiteur du vestiaire mal ventilé. Nadine me posa délicatement et je retrouvai le contact avec la terre ferme que j’avais quittée depuis que Nadine m’avait pris en main. Mes jambes tremblaient d’émotion et d’excitation devant le corps titanesque de la belle, dont les muscles étaient gonflés par les efforts qu’elle venait de fournir.
- Je crois que l’on a besoin d’une bonne douche !
Nadine aida le bas de sa robe qui était encore maintenu par son majestueux fessier, à tomber par terre. Elle était totalement nue devant moi et je ne pouvais détacher mon regard de cette épaisse toison, alors que je n’avais pas un poil. Elle quitta ses chaussures et se tourna pour se diriger vers la douche collective. Je n’avais jamais vu un dos aussi puissamment musclé et ses fesses étaient une combinaison parfaite de fermeté et de rondeur. Je suivais la belle et tentai de tourner le vieux robinet que personne n’avait dû manipuler depuis longtemps. Même avec mes deux mains, la vieille mécanique refusa de coopérer. Me voyant f o r c e r en vain, Nadine saisit mon épaule frêle dans sa main de géante pour me faire comprendre qu’elle prenait les choses en main. Le robinet ne résista pas longtemps et dans un couinement métallique, abdiqua face à la f o r c e surhumaine de la jeune amazone. L’eau se mit à couler et Nadine entreprit de me laver. Elle mit une noix de gel dans ses mains, et commença à frotter mon corps vigoureusement. J’avais beau tenter de rester stable sur mes deux jambes, j’étais ballotté par ses mains puissantes et aucune partie de mon corps ne leur échappa. Même la raie de mes fesses fut scrupuleusement nettoyée. Quand elle estima mon hygiène parfaite, elle me tendit la bouteille de gel.
- A toi de me nettoyer !
Je mis deux grosses noix de gel dans mes petites mains pour couvrir la surface du corps colossal de Nadine. Je commençai par ses fesses et ses cuisses que je n’avais pas encore touchées. Elles étaient durs comme du béton. Je poursuivis en agitant mes petites mains contre son dos puissant dont les muscles roulaient sous sa peau, puis, me mettant sur la pointe des pieds, je frottai ses larges épaules de déménageur. Je passai ensuite du côté face et remis du gel dans mes mains pour nettoyer ses énormes melons que j’avais souillés de ma semence. Je ne me lassais pas de leur contact ferme. Ils luisaient, glissants et humides, sous la lumière blafarde des néons. Ma main s’approcha de l’entre-jambe de la géante que ma timidité me fit contourner. Nadine s’en rendit compte et saisissant fermement mon petit bras, elle me guida vers ses lèvres humides que je frottai d’abord en douceur, puis de plus en plus rapidement. La belle frémissait de plaisir et ses gémissements se faisaient de plus en fort, au fur et à mesure que le plaisir montait en elle. Guidant à nouveau ma petite main sur le devant de son sexe, elle me fit découvrir son clitoris. A peine j’avais touché ce détonateur du plaisir qu’elle emprisonna ma tête au creux de son coude pour me plaquer contre son sein.
- Continue comme ça avec ta main et lèche moi les seins en même temps !
J’obéis aux ordre de ma maîtresse et activai à la fois ma petite main sur son clito et ma langue sur ses seins. Après quelques minutes de ce traitement, la géante explosa de plaisir et manqua de m’étouffer tant elle me comprimait contre sa poitrine. Quand elle relâcha son étreinte, je tombai par terre à quatre pattes pour reprendre mon souffle. Nadine se pencha et comme elle aimait tant le faire, me saisit sous les aisselles pour me plaquer contre sa poitrine, soutenant mon poids dans une seule de ses grandes mains, me berçant tendrement. Elle me déposa sur le banc où elle sécha vigoureusement mon petit corps dans son immense serviette. Nous nous rhabillâmes et sortirent du gymnase. Quelques uns de mes camarades de classe traînaient dehors et nous regardèrent les yeux exorbités quand ils virent que nous nous tenions la main. Arrivés au bout de la rue où chacun devait partir de son coté, Nadine se pencha pour me tendre ses lèvres et nous embrassâmes pour nous dire au revoir. Elle me chuchota à l’oreille:
- Mets ta main sur mes fesses, ils vont en mourir de jalousie !
Je m' exécutai et mis ma petite main sur ses larges fesses, dures comme de l’acier.
Mes collègues devaient baver devant ce que la belle m’autorisait !
Je ne me souviens même pas du trajet jusqu’à la maison tant j’étais absorbé par les évènements de cet après-midi. Je n’avais qu’une hâte: retourner au lycée pour revoir la sculpturale Nadine.
Ce fut le début d’une belle et longue histoire qui dure toujours 20 ans après. Nadine continua de grandir jusqu’à ses 20 ans pour atteindre 2m05 et 150kg, ce qui ne fut pas mon cas. Nous avons un fils de 18 ans et des jumelles de 16 ans qui sont tout le portrait de leur mère. Notre fils, par contre, a tout pris de moi, malheureusement pour lui. Elles ont déjà une bonne tête de plus que lui et ont pris l’habitude de le soulever et de le porter pour tester leur f o r c e qui n’en finit pas de croître, même si leur mère n’aime pas beaucoup ça et est obligée d’intervenir pour l'extirper de leurs mains puissantes.
FIN
Bgp
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